Reveil douloureux ( première qui répond^^)

Eléonore était coucher sur son lit, elle n'avait pu participer activement à son voyage jusqu'à la prison, Eliona ayant prit contrôle du corps pour "s'amuser" , la jeune femme n'avait pas pu ainsi reprendre conscience de ce qui l'entourait de l'air pur qui entrait dans ses poumons de cette lumière qui l'éblouit et encore moins de tout ses son qui lui donne mal à la tête.
La miss cligna plusieurs fois des yeux avant de les ouvrir complètement regardant autour d'elle effrayer, se mettant en boule dans son lit,le plus loin possible du bord ses yeux partait de droite à gauche, ses mains rassemblée autour de ses jambes tremblait, ses oreilles grand ouverte au moindre bruit comme à son habitude, ses yeux finirent par enregistrer la pièce , plutôt petite sas décorations aux murs, des draps simple une petite fenêtre ou elle pourrait simplement passé sa main mais serait bloquer au niveau des coudes, un évier ainsi qu'un miroir , Eléo frissonna en le voyant mais fort heureusement elle ne pu voir son reflet, plusieurs lits constituait la cellule , ainsi elle ne serait pas seule une bonne ou une mauvaise chose? Après deux année dans le noir sans autre compagnie que les rats qui lui arrivait de manger si le repas arrivait trop tard ou était oublier , Eléo n'avait plus ce coté bien élevé, enthousiasme si Eli était un véritable animal sauvage, pour l'instant Eléo était un animal appeuré dans sa nouvelle cage.

Petit à petit elle se calma toujours en alerte son regard se posa sur son corps, où des marques de coup étaient encore visible, quelqu'un étaient soigner assez grossièrement comme pour ne pas lui faire oublier qu'elle avait mériter ce sort. Son dos lui était douloureux mais elle émit aucune plainte, ayant trop peur de voir queqlu'un arriver pour la battre à nouveaux. Elle avait entendu parler de la prison, on lui avait dit qu'il faisait froid et qu'on ressassait des idées noir,pourtant les seules sensation qu'elle ressentait n'était que de l'inquiétude et de la peur, aucun souvenir douleur lui revenait en tête, elle ne ressentait pas l'impression de plus pouvoir sourire ni rire. On ne lui avait pas expliquer..ou peut être qu'on l'avait fait à Eliona et qu'elle s'en souvienne pas?

Eléonore place ses mains sur ses oreilles essayant de s'en souvenir, fermant les yeux mais c'est toujours ce trou noir... cet immense vide qui l'envahit quand Eliona prend possession d'elle. Elle ne pouvait cauchemarder de ce qu'elle avait fait au garçons, ne s'en souvenant pas, parfois il lui arrivait d'avoir des flash mais trop rarement et trop rapide pour qu'elle puisse comprendre. Doucement elle reouvrit les yeux pour faire place à une fille... elle ne l'avait pas entendu venir, n'importe qui pouvait entrée dans sa cellule? c'est vrai que la porte n'était pas fermée et entrouverte, quel était cette prison pour laisser les prisonnier bouger entre eux? ..

Encore des nouveaux prisonniers! Et oui encore! Qu'avait il pu faire ceux là? Peut importe je ne suis pas là pour penser à ce qu'ils ont fait. Je ne suis pas là pour penser qu'ils ont peut être pas commis la faute pour laquelle ils ont été emprisonner. J'effectue les ordres de la directrice, sans me soucier si c'est bien ou mal. A vrai dire c'est que je m'en fout complètement de leurs sorts. Ils peuvent crever, ça me fera moins de travail. Dans cette prison je suis le maitre après la directrice et je ne laisserait personne dicter la loi dans ses murs. Les ordres sont les ordres et je vous garanties que je prends plaisir à les faire respecter. J'avais les dossiers en main des nouveaux et nouvelles détenues. Passant dans le couloir, je vérifiait si les préconisations avait bien été effectué par mes sous fifre. Marchant dans cette demi pénombre, muni de mon katana et de ma baguette accroché à ma ceinture je comptabilisais soigneusement, les nouvelles bouches à nourrir aux frais de la société magique. Au passage, je vérifiais leurs dossiers et leurs accusations, j'aime savoir à qui j'ai affaire pour pouvoir paré au pire. Enfin bref, Marchant toujours dans les couloirs, je m'arrête à la porte d'une cellule. Fronçant les sourcils, je regarde cette petite ouverture avec méfiance.*"La porte entrouverte? Et sans surveillance? Mais c'est quoi ce bordel!"*. La baguette en main, je pousse légèrement la porte, pour m'y insérer avec prudence. La pénombre de la cellule je distingue une silhouette allongé sur le lit. Regardant autour de moi, pas d'autre détenue dans cette cellule. Je m'approche toujours avec cette prudence et prêt à répliquer au moindre de ses gestes. Regardant plus attentivement, c'était une jeune femme qui avait l'air d'être endormi. *"tant mieux, je n'aurai pas à me battre avec une tigresse pour la ligoter."* Je changeais vite de d'avis un peu d'exercice ne me ferait certainement pas de mal.

Mais ce qui m'intéressait à première vu était loin d'être l'esprit de la jeune femme à son réveil. Elle possédait un corps tout à fait alléchant. Me plaçant dans un coin de la cellule, je commence à feuilleté les antécédent de la jeune femme. Je fus quelques peu surpris en y pensant ,vu la découverte macabre et surtout l'état de ses victimes qui avait eu la chance de rester en vie. Un petit bout de femme qui pouvait faire acte de barbarie? Ne jamais se fier au apparence, c'était bien une chose que j'avais appris ici et même tout le long de ma vie. La criminel dénommé Eléonore Lorée famille de sang pure qui plus est, comme quoi ils font des dégénéré aussi. J'attends patiemment la réveil de celle ci qui ne tarde pas d'ailleurs. Avait elle senti ma présence. Elle avait l'air drogui. Ne quittant pas mon regard des mouvement de la détenues, je scrutais l'instant où elle me verrait. Et hop comme par magie, comme si mon désire d'être vu avait été entendu.Un sourire carnassier se dessina sur mes lèvres. Je me relève de ma chaise de fortune et d'un pas félin je m'avance vers elle. Disant de ma voix la plus ténébreuse:

"Enfin réveillez! Tu te prends pour la belle aux bois dormant! Mais je suis loin d'être le prince charmant!"

Gardant ce sourire, je continue ma tirade en y mêlant une pointe d'humour.

"Bienvenus à l'hôtel Azkaban! J'espère que votre chambre vous plait car de toute façon c'est celle que vous aurez avec nous tout le long de votre séjour chez nous, c'est à dire jusqu'à votre mort dans votre cas. Les repas vous sont servi à 18 h soyez prêt à les recevoir car les plateaux glisse tellement vite des mains."

Riant de ma boutade, je la scrute un peu plus au passage, me léchant les lèvres instinctivement, tel une bête qui avait trouvé sa proie.